Les sens et leur composition chez les êtres vivants
Les sens et leur composition chez les êtres vivants
Dr Youssouf nous en parle en disant : « tous les êtres vivants sont pourvus de sens : vision, odorat, ouïe et toucher. La morphologie surprenante et complexe de l’œil est semblable chez tous les mammifères et autres. En effet, dans l’œil il existe une lentille qui absorbe la lumière et la laisse passer à travers la pupille qui se rétracte en présence de lumière intense et se dilate dans le cas contraire. La sagesse derrière ce phénomène est que le processus de vision nécessite une grande quantité de lumière pour se déclencher dans la pénombre alors que dans le cas contraire, peu de lumière suffit pour pouvoir discerner les objets visibles.
Alors que l’œil peut voir les objets dans la pénombre, le cerveau humain n’a pas encore pu inventer un appareil photos qui peut capter des images en une telle circonstance.
Les abeilles peuvent voir les rayons ultra-violets alors que le hibou peut voir les rayons infrarouges invisibles à l’œil humain. Et grâce à la qualité thermique de ces rayons, le hibou peut voir sa proie dans l’obscurité grâce à la chaleur qu’elle émet.
Le rayon de lumière passe donc à travers la lentille pour atterrir sur la rétine. Cette dernière est constituée de 9 couches qui ne dépassent pas en épaisseur une feuille de papier. La dernière couche est composée de millions de bâtonnets et de cônes minutieusement rangés et ajustés pour pouvoir distinguer les couleurs. Le nerf optique est alors responsable de transmettre cela au cerveau qui le traduit en une image nette visible à l’œil.
Et sans cette synchronisation simultanée entre lentille, cônes, bâtonnets, et nerfs, la vision devient impossible. On se demande alors comment cela est-il possible.
Les sciences mathématiques nous disent que la probabilité qu’un tel événement puisse avoir lieu par hasard est absolument impossible. La caméra utilisée dans les médias n’est qu’une imitation archaïque du processus de la vision humaine. Elle est, comme tout ce que le cerveau humain a pu inventer, une piètre imitation de ce qui existe chez les créatures. Et si cette caméra a nécessité un cerveau pour la créer, se pourrait-il que l’œil chez les humains ou les animaux soit le produit d’une pure coïncidence ?
Il est étonnant de constater que tout ce qui a besoin de voir, Dieu l’a doté de yeux pour voir même s’ils sont différents dans leur constitution des yeux humains. Mais ils réalisent la même fonction : la vision. Prenons l’exemple du vers de terre qui est doté de cellules photosensibles qui lui permettent de distinguer, tout ce dont ce vers a besoin sous terre, lumière et obscurité.
Les insectes quant à eux ont des yeux qui diffèrent de ceux de l’homme ou des singes, vaches, tortues ou poisson. Mais ils arrivent également à voir. Et c’est dans cette distinction des moyens alors que l’objectif est unique que réside la preuve qui réfute la coïncidence dans ces événements qui, bien au contraire, ont eu lieu suite à une planification sur mesure pour atteindre un but spécifique.
Dieu a ainsi doté chaque créature de ce dont elle a exactement besoin en sens et perception. La mouche par exemple, a besoin d’yeux pour voir la nourriture et de moyens pour percevoir les attaques probables. Dieu lui a donné, comme pour presque tous les insectes, une paire d’yeux complexes. Chaque œil est composé d’unités identiques juxtaposées et chaque unité lui permet de capturer une partie de l’objet à voir. Il lui suffit de réunir toutes ces parties pour voir l’objet en entier. Elle a également de qui est appelé des yeux simples- 3 au sommet de sa tête qui lui permettent de percevoir les mouvements et c’est grâce à ces yeux qu’il est presque impossible de capturer une mouche. »