II) Le Christ s’est-il appelé Seigneur ou Dieu ?


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II) Le Christ s’est-il appelé Seigneur ou Dieu ?
 
Les Musulmans refusent de croire à la véracité des nombreuses expressions très claires qui, selon le Nouveau Testament, émanaient des disciples. Elles étaient objet de modifications volontaires comme cela est arrivé (1) 5/7-8). Ces altérations découlent de la mauvaise traduction et son imprécision. Le mot Seigneur qui revient très souvent dans les traductions arabes comme un nom du Christ signifie dans les autres traductions étrangères Lord dans la langue anglaise et Maître dans la langue française. C’est dans ce sens qu’on les trouve dans des traductions comme l’allemande, l’italienne, l’espagnole et autres.
 
Ce que nous rencontrons dans la traduction arabe n’est point récent mais il concorde avec la nature de la langue que parlaient Jésus et ses contemporains. Le mot Seigneur, dans leur société, désignait le maître et impliquait une marque du respect et de considération. D’après l’Evangile de Jean, les disciples interpellaient Jésus en lui disant : Ô Seigneur ce qui veut dire Ô Maître. Marie de Magdala se retourna vers lui et lui dit Rabbouni, ce qui signifie maître…J’ai vu le seigneur (20-16/17). Le plus fort qu’elle pensait de lui qu’il était un prophète et un maître puisqu’elle l’a interpellé par ces deux noms. Deux disciples à qui il demanda ce qu’ils cherchaient, ils lui répondirent : Rabbi – ce qui signifie maître- (Jean 1/38). Il n’est jamais venu à l’esprit d’aucun disciple d’utiliser ce mot dans son sens courant quand ils s’adressaient à lui mais ils voulaient exprimer l’idée du maître ou seigneur et ils le comparaient à Jean-Baptiste quand il lui dirent : seigneur apprends-nous à prier comme Jean le Baptiste l’a appris à ses disciples (Luc 11/1).
 
L’emploi du mot Seigneur dans le sens de maître est très usuel dans la langue grecque. Stéphane Neil a écrit : «Le Seigneur, nom d’origine grecque, peut rendre l’idée de la politesse, dans la discussion. Le geôlier, dans la ville macédonienne, a prononcé aux prisonniers le mot de Messieurs : Puis il les fait sortir et leur demanda : Messieurs que puis-je faire pour être sauvé ? Ils lui répondirent : Crois au Seigneur Jésus et tu seras sauvé toi et ta famille.(Actes des Apôtres 16/30). Ce verset de Paul qui décrit Jésus de Seigneur, tout en le considérant comme un serviteur de Dieu, confirme cette interprétation: Que le Dieu de notre Seigneur Jésus, le Père à qui appartient la gloire, vous donne un esprit de sagesse qui vous le révèle et vous le fasse vraiment connaître.(Ephésiens 1/17)
 
 
 
A) Les paroles de Thomas : Mon Seigneur et mon Dieu
 
Quant aux paroles de Thomas : (Mon Dieu ! mon Seigneur !) adressées à Jésus, en personne, alors qu’il le croyait mort, étaient le résultat de son grand étonnement exprimé par les points d’exclamation que les imprimeurs n’ont pas négligés (Jean 20/28). Ces points embellissent aussi bien les textes des traductions arabes qu’étrangères. Cette notion de surprise est peut être vague dans la traduction arabe et dans bien d’autres mais elle reste bien claire dans les traductions grecques, ce qui peut se lire avec l’alphabet anglais – nom-ree-apok – aheeelle exprimait une réaction et voulait dire (Mon Dieu et mon Seigneur)
 
L’annonce du Messie qu’il allait rejoindre son Dieu (Jean 17/20) confirme cette explication. La divinité si elle se rapporte à Jésus est symbolique mais non pas réelle. Certaines personnes risquent de s’égarer par ces paroles : Thomas lui répondit : Mon Dieu et mon Seigneur (Jean 20/28). Ces égarées pensent qu’elles ne sont pas la conséquence de l’ébahissement de celui qui les a prononcées, mais elles font partie du discours direct avec Jésus en le qualifiant de Dieu. Ils s’appuient sur le verset de Jean : « Il lui dit » En réalité, le pronom luiest inexistant dans la plupart des traductions arabes ; mais en supposant qu’il s’y trouve, il veut dire (à cause de lui) ou (de ce qu’il a vu en lui). Nous trouvons un exemple pareil dans le livre de Samuel. Le prophète Jonathan adressa une prière à Dieu pour David, or selon le contexte nous comprenons que ces paroles sont adressées au roi alors qu’il s’agit d’une supplique à cause de David : Jonathan dit à David : Par le Seigneur, Dieu d’Israël, oui, je sonderai les intentions de mon père, à cette heure-ci, demain, pour la troisième fois. Si tout va bien pour David et qu’en ce cas je ne te fasse pas avertir (Samuel (I) 20/12) Il est donc écrit : Jonathan a dit à David c’est-à-dire à cause de David.
 
Si Jésus avait compris des paroles de Thomas qu’il le considérait comme un Dieu, il n’aurait pas laissé passer cette mécréance et ce blasphème. Il avait refusé d’être appelé « bon » lorsque l’un de ses élèves lui dit : «Maître que dois-je faire de bon pour avoir la vie éternelle?» Jésus lui dit : «Pourquoi m’interroges-tu sur le bon ? Unique celui qui est bon.» Matthieu 19/17
 
Comment donc accepterait-il d’être appelé Dieu ou Seigneur?
 
 
 
B) La parole de David : Le Seigneur a dit à mon seigneur :
 
En ce qui concerne l’argumentation extraite du Psaume 110/1:Le Seigneur a dit à mon Seigneur assieds-toi à ma droite jusqu’à ce que j’aie fait de tes adversaires un escabeau sous tes pieds.  Il ne s’agit, en aucun cas, de Jésus mais de l’ultime Messager, Mohammed (B.S.D.L) annoncé aux fils d’Israël. Pierre s’est leurré en croyant qu’il était question du fils de Marie la Vierge : David, qui n’est certes pas, monté au ciel, a pourtant dit : Le Seigneur a dit à mon Seigneur assieds-toi à ma droite jusqu’à ce que j’aie fait de tes adversaires un escabeau sous tes pieds. Que toute la maison d’Israël le sache donc avec certitude : Dieu l’a fait et Seigneur et Christ, ce Jésus que vous, vous aviez crucifié (Actes des Apôtres 2-34/36)
 
La preuve de la mauvaise compréhension de Pierre et des Chrétiens après lui, c’est que Jésus niait être le Messie annoncé par David et le leur assura en les interrogeant : « Car David lui-même n’est pas monté au ciel, mais il a dit : « Le Seigneur Dieu a dit à mon Seigneur, viens siéger à ma droite. Je veux contraindre tes ennemis à te servir de marchepied. Tout le peuple d’Israël doit donc le savoir avec certitude, ce Jésus que vous avez cloué sur la croix, c’est lui que Dieu a fait Seigneur et Messie. » (Les Actes des Apôtres 2-34/37)La preuve que Pierre s’est trompé c’est que Jésus lui-même a rectifié le tir en leur demandant de qui descendait le Messie attendu par les Juifs. Ils lui répondirent qu’il sera issu de la lignée de David. Leur réponse était fausse : Jésus leur posa cette question : «Que pensez-vous du Messie? De qui est-il le descendant?» «Il est le descendant de David.» lui répondirent–ils. Jésus leur dit : «Comment donc David, guidé par l’Esprit Saint, a-t-il pu l’appelait Seigneur ? Car David a dit : «Le Seigneur Dieu a déclaré, viens siéger à ma droite. Je veux contraindre tes ennemis à passer sous tes pieds. Si donc David l’appelle Seigneur, comment le Messie peut-il être aussi le descendant de David. » Aucun d’eux ne put lui répondre un seul mot et, à partir de ce jour, personne n’osa plus lui poser des questions. (Matthieu 22-41/46) Les Juifs restèrent muets comme des carpes car sa preuve était incontestable
 
Il répondit que si David l’appelle mon Seigneur, comment peut-il être son fils? Comment le père peut-il dire à son fils Mon Seigneur? Le Messie attendu par les enfants d’Israël, d’après les deux évangélistes, Matthieu et Luc, ne descend pas de David, il n’est donc pas celui prédit par ce monarque et prophète. Pour plus de clarté, retournons au débat entre le Christ et les Pharisiens. Il les questionna : « «Comment les maîtres de la loi peuvent-ils dire que le Messie est le descendant de David ? Car David guidé par l’Esprit Saint a dit lui-même : «Le Seigneur Dieu a déclaré à mon seigneur, viens siéger à ma droite. Je veux contraindre tes ennemis à passer sous tes pieds. David lui-même l’appelle seigneur ; comment le Messie peut-il être alors aussi descendant de David (Marc 12-35/36) C’était une question de réprobation à laquelle ils ne trouvèrent pas de réponse. Luc a consigné toute l’histoire dans son Evangile afin de nous réconforter concernant la conclusion à laquelle nous sommes parvenus : «Comment peut-on affirmer que le Messie est le descendant de David, car David déclare lui-même dans le livre des Psaumes : le Seigneur a dit à David mon seigneur : viens siéger à ma droite. Je veux contraindre tes ennemis à te servir de marchepied. David l’appelle seigneur comment le Messie peut-il être aussi le descendant de David.»(Luc 20-40/44)
 
La personne qui descendra de David n’est point celle dont il a annoncé la venue prochaine puisqu’il l’a appelé Dieu ou Seigneur. Les Chrétiens, eux sont unanimes à clamer que Jésus est ce Messie que les deux évangélistes, Matthieu et Luc, ont inséré son nom dans les deux arbres généalogiques de David. le Docteur et moine Ibrahim Saïd nous traite d’ignorant et nous accuse d’orgueil et d’obstination, parce que ce texte ne constitue pas pour nous une preuve irréfutable se rapportant à la déité de Jésus.
 
 
 
C) L’annonce d’Emmanuel :
 
Emmanuel annoncé à Esaïe n’est point Jésus car celui-ci n’a jamais porté ce nom et personne ne l’a employé pour l’interpeller. L’histoire rapportée par Esaïe s’est déroulée sept siècles avant J.C à l’occasion de la conspiration de Recîn roi d’Aram et de Péqah, fils de Remalyahou, roi d’Israël, le royaume du nord contre Akhaz, roi du royaume de Juda, au sud. Dieu a promis à celui-ci la victoire sur ses adversaires et l’effacement du mal du royaume de Juda. Il lui assure que la naissance de l’enfant Emmanuel sera un signe de la fin des jours de Recîn et de Péqah par les Assyriens et de leurs royaumes : Le Seigneur parla encore ainsi à Akhaz… Aussi bien le Seigneur vous donnera-t-il lui-même un signe : «Voici que la jeune femme est enceinte et enfante un fils et elle lui donnera le nom d’Emmanuel. De crème et de miel, il se nourrira, sachant rejeter le mal et choisir le bien. Avant même que l’enfant sache rejeter le mal et choisir le bien elle sera abandonnée, la terre dont tu crains les deux rois. Le Seigneur fera venir sur toi, sur ton peuple et sur la maison de ton père des jours tels qu’il n’en est pas venu depuis qu’Ephraïm s’est détaché de Juda. Il adviendra, en ce jour-là, que le Seigneur sifflera les mouches qui sont à l’extrémité des canaux d’Egypte et les abeilles qui sont au pays d’Assyrie….Le Seigneur me dit : «Prends un grand cylindre-sceau et écris dessus avec un burin ordinaire A Maher Shalal Hash Baz … Elle conçut et enfanta un fils. Le Seigneur me dit : «Appelle-le Maher Shalal Hash Baz, car avant que l’enfant sache dire mon père et ma mère, on apportera les richesses de Damas et le butin de Samarie devant le roi d’Assyrie. (Esaïe 7/10 et 8-1/4) Le texte relate des événements qui se sont déroulés juste avant l’envahissement de l’Egypte par les Assyriens. A cette époque ce garçon vit le jour et son père l’a prénommé Maher Shalal Hash Baz en souvenir de la victoire du roi Akhaz. Ce nom signifie : prompt au butin, disposé pillage.[1] Cette prophétie se réalisa et le roi Akhaz triompha grâce à l’arrivée des forces du souverain assyrien qui battirent les deux monarques, conquérants et comploteurs contre le royaume de Juda. Le Seigneur me parla encore en ces termes : «…Le Seigneur fera monter contre eux les eaux puissantes et abondantes du Fleuve – le roi d’Assyrie et toute sa gloire. Il s’élèvera partout au-dessus de son lit, il franchira toutes ses berges, il envahira Juda, il débordera, inondera, arrivera jusqu’au cou et l’extension de ses rives remplira la largeur de ton pays, Ô Emmanuel. Tremblez peuple et soyez égarés ! Prêtez l’oreille, toutes les régions de la terre ! Ceignez vos armes et soyez écrasés ! Ceignez vos armes et soyez écrasés ! Formez un projet, il sera mis en pièces. Tenez des propos, ils seront sans effet, car Dieu est avec nous. (Esaïe 8-5/10)
 
Les vérificateurs du dictionnaire de la Bible ont dit à propos le roi Akhâz « Alors Recîn, roi d’Aram et Péqah fils de Rémalyahou, roi d’Israël et l’assiégèrent dans Jérusalem.» (Les Rois II-16/5). Le Seigneur lui envoya le prophète Isaïe avant l’arrivée des forces conquérantes en vue de l’encourager à se soumettre à la volonté du Souverain Suprême et de ne pas s’allier à des forces étrangères pour l’aider. Mais Akhâz refusa de Lui demander un signe provenant de Lui. C’est alors que le prophète prononça son fameux discours sur la naissance d’Emmanuel[2]. NotonsqueLuc, en reprenant ce passage du livre d’Esaïe, y a introduit un paragraphe qui n’existe pas dans les originaux hébreux ni dans les traductions anciennes de la Torah telles celles d’Aïko-ila, de Tahadochine, de Smîks qui datent du deuxième siècle après Jésus. Les manuscrits hébreux anciens parlent de (‘Almâh) qui veut dire la fille ou l’adolescente alors que le vocable désignant la Vierge (batoullâ) y est absent. Ce sont les traducteurs de la septante qui l’ont adopté et les évangélistes l’ont propagé parce qu’il concordait avec leurs convictions[3]. Le terme de la vierge aété remplacé par (Es-Sabyah) dans le livre d’Esaïe dans la version recorrigée (R.S.V) publiée en 1952 mais cette révision n’a été opérée que dans la traduction anglaise
 
 
 
D) Le fils-dieu : maître de la souveraineté :
 
Il est écrit dans le livre d’Esaïe: Car un enfant nous est né, un fils nous a été donné. La souveraineté est sur ses épaules. On proclame son nom : «Merveilleux, Conseiller, Dieu, Fort, Père à jamais, Prince de la paix. Il y aura une souveraineté étendue et sans fin pour le trône de David et pour sa royauté, qu’il établira et affermira sur le droit et la justice, dès maintenant et pour toujours. (Esaïe 9-5/6)  Le filsde Marie n’a, au grand jamais, porté les noms de Merveilleux ou Conseiller ou Fort ou Père ou Prince de la paix. Aucun texte de la Bible ne lui donne ces noms. D’aucuns peuvent nous rétorquer que ces caractéristiques sont celles concernent le Fils promis, nous répliquerons par la négative car elles ont trait à un roi victorieux qui gouverne son peuple et qui hérite le royaume de David. Ces singularités ne se sont pas réalisées pour le Messie ni par la réalité ni par les textes historiques.
 
Jésus n’a pas gouverné son peuple même pendant une seule journée, au contraire il s’est enfui devant les Juifs, ayant peur de leur violence comme il s’est sauvé devant son peuple quand ils voulaient faire de lui leur roi. Mais Jésus, sachant qu’on allait venir l’enlever pour le faire roi, se retira à nouveau, seul, dans la montagne. (Jean 6/15)Il se retira devant son peuple car son royaume, spirituel, n’est ni terrestre ni séculier. Il n’est pas symbolisé par le trône de David, il est métaphysique et sera concrétisé dans l’Autre Monde. Jésus répondit : «Ma royauté n’est pas de ce monde. Si ma royauté était de ce monde, les miens auraient combattu pour que je ne sois pas livré aux Juifs. Mais, ma royauté, maintenant, n’est pas d’ici. . (Jean 18/36)
 
Les paroles d’Esaïe à propos du prince de la paix ne risquent pas d’être attribuées à celui dont les Evangiles ont signalé. N’allez pas croire que je sois venu apporter la paix sur terre ; je ne suis pas venu apporter la paix, mais bien le glaive. Oui, je suis venu séparer l’homme de son père, la fille de sa mère, la belle-fille de sa belle-mère ; on aura pour ennemis les gens de sa maison. (Matthieu 10-34/36)Après tout cela, Jésus vu par les Evangiles peut-il être le prince de la paix? Moi, je ne puis rien faire de moi-même : je juge selon ce que j’entends. (Jean 5/30) Esaïe parle d’une personne merveilleuse et en même temps dieu puissant et non pas d’une personne limitée dans ses possibilités qui ne peut rien faire d’elle-même. Moi, je ne puis rien faire de moi-même : je juge selon ce que j’entends. (Jean 5/30)
 
Dans un autre passage, Jésus a dit aux Juifs : En vérité, en vérité, je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de lui-même, mais seulement ce qu’il voit faire au Père, car ce que fait le Père, le Fils le fait pareillement. (Jean 5/19)[4]La Bibleaffirme que le fils de la Vierge n’a jamais gouverné le royaume d’Israël, car Dieu a interdit à la descendance de Yoyakim, le roi vicieux Ainsi, parla le Seigneur au sujet de Yoyakim, roi de Juda : il n’aura personne pour lui succéder sur le trône de David ; son cadavre sera exposé à la chaleur du jour et au froid de la nuit ; je sévirai contre lui, sa descendance, ses serviteurs à cause de leurs crimes. (Jérémie 36-30/31) Jésus – selon les Evangiles- descend de ce roi perverti. Dans son arbre généalogique, Matthieu a consigné : Amon engendra Josias, Josias engendra Jéchonias et ses frères ; ce fut alors la déportation à Babylone. (Matthieu 1/10)Mais Matthieu l’a enlevé, volontairement, et n’a cité que son père Josias et son fils Jéchonias. Par contre le premier livre des Chroniques l’a bien signalé : Amon son fils, Josias son fils. Fils de Josias le premier-né Yohanân, le second Yoyakim, le troisième Sédécias, le quatrième Shaloum. Fils de Yoyakim : Yekonya son fils, Sédécias son fils (Les Chroniques (I) 3-14/16)La prophétie d’Esaïe concernant Jésus ne peut se réaliser puisque le Christ ne descend pas de Yoyakim, ce roi déchu moralement.
 
 
 
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[1]) La théologie chrétienne et l’homme moderne du métropolitain- Kirlisse Salim –Tome :4 – Pages :25/26.
 
[2]) (Voir Isaïe 7-1/16)  Dictionnaire de le Bible page : 2
 
[3]) Introduction à l’Ancien Testament- Le moine et Dr Samuel Youcef – Page : 260
 
[4]) Pour comprendre cette intervention de Jésus qui a déclaré qu’il fait comme le Père, notons que cette déclaration constituait sa réponse aux Juifs qui lui reprochaient d’avoir violé la sainteté du sabbat, alors qu’il a soigné un infirme, «Comme son Père garde le monde et le domine le Samedi, comme il le fait tous les autres = =jours, ainsi il s’occupe sans arrêt pour sauver l’Humanité et pour son bonheur temporaire et éternel.» Le moine et Dr Sam‘âneKalhoûne. Page : 161.
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