L’ISLAM RELIGION D’AVENIR ET D’ETERNITE
L’ISLAM RELIGION D’AVENIR ET D’ETERNITE
Le Prophète aurait-il pu être l'auteur du Coran ? Est-il possible qu’un homme puisse inventer en toute impunité une nouvelle religion et l'attribuer au Seigneur de l'univers, sans aucune conséquence ? Ce serait méconnaître la Toute-puissance de Dieu que de croire qu'une telle mystification aurait pu prospérer à l'image de l'Islam qui se développe dans toute sa vigueur, depuis quatorze siècles. Le Coran écarte catégoriquement cette hypothèse en des termes très violents : (C’est Dieu qui parle) : « C'est là en vérité la parole d'un noble Prophète, ce n'est pas la parole d'un poète. Que votre foi est bien faible. Ce n'est pas la parole d'un devin. Comme vous réfléchissez peu. Il s’agit d’une Révélation du Seigneur de l'univers. S'il (le Prophète) Nous avait attribué quelques paroles mensongères, Nous l'aurions saisi par la main droite, puis Nous lui aurions tranché l'aorte et personne d'entre vous n'aurait pu s'y opposer. Ceci est un rappel pour ceux qui craignent Dieu... » (Coran 65.40 à 48)
Le Prophète Mohammed, que le Salut et la bénédiction d’Allah soient sur lui est lavé de tout soupçon, puisqu'il est véritablement le Messager de Dieu qui le couvre de Sa Grâce et de Sa Miséricorde. « Dieu a fait descendre sur toi le Livre et la Sagesse (le Coran); Il t'a enseigné ce que tu ne savais pas. La Grâce de Dieu envers toi est immense. » (Coran 4.113)
Non seulement Mohammed est le Prophète de Dieu, mais l'Islam est également la seule religion encore agréée. Alors que durant son apostolat, il était en butte à l'adversité de ses ennemis et que son sort paraissait condamné, Dieu Lui révéla une autre prédiction très remarquée dans le contexte de l'époque. Elle annonçait la victoire sur les idolâtres qui étaient les pires ennemis de l'Islam. De plus, elle prédisait le triomphe de la nouvelle religion sur toutes les autres formes de croyances dans le monde : « C'est Lui (Dieu) qui a envoyé Son Prophète avec la Direction, la Religion vraie, pour la placer au-dessus de toutes les autres religions, en dépit de l’aversion des polythéistes. » (Coran 61.9).
Cette sourate a été révélée, alors que le Prophète était à Médine, exposé à l'hostilité de la communauté juive (ou de ce qui en restait), et à celle des "hypocrites" qui s'opposaient insidieusement ou ouvertement à sa mission. Il venait en outre de subir la grave défaite d’Ohod, face aux troupes ennemies coalisées, qui étaient convaincues d'avoir brisé définitivement les forces musulmanes. (Mars 625).
La péninsule arabique dans son ensemble (à l'exception de la ville de Médine) était sous l'influence des idolâtres qui exerçaient un pouvoir sans partage. A Médine même, les "hypocrites" travaillaient à miner son autorité, en s'alliant aux Juifs et aux Mecquois idolâtres. Au nord du pays, s'étendait l'empire chrétien, au summum de sa puissance. Il englobait non seulement l'Asie Mineure, mais aussi le Bassin méditerranéen, l'Europe continentale, les îles Britanniques et une partie de l'Afrique orientale (Éthiopie). A l'est, les Perses sassanides, mazdéens adorateurs du feu, étaient eux aussi au faîte de leur apogée et dominaient de vastes territoires. Plus à l’est encore, les autres grandes religions d'Asie comme le Bouddhisme Brahmanisme, le Confucianisme, le Shintoïsme, le Taoïsme, etc., se disputaient la multitude de sociétés peuplant ces régions encore fermées aux influences extérieures, mais néanmoins déjà évoluées sur le plan civilisationnel. Enfin, les dernières parties du monde connu (Afrique-Océanie-Asie) étaient plongées dans le fétichisme, l’animisme, et la vénération de manifestations surnaturelles.
La situation se présentait ainsi : D'un côté, quelques centaines de combattants qui venaient de subir une grave défaite, et qui étaient cantonnés dans une partie de Médine. En face, le monde entier. Les autres religions et croyances avaient un potentiel militaire et humain des milliers de fois supérieur à celui des Musulmans et la ville de Médine était totalement enclavée dans ce gigantesque ensemble hostile à l'Islam.
Ce fut à ce moment précis que parut la Révélation annonçant la victoire de la nouvelle religion et sa prédominance sur toutes les autres croyances ou formes d'adoration de la planète. La gageure semblait impossible, pourtant elle allait se réaliser entièrement, sous l’influence d’un destin maitrisé à l’avance. En dépit de leur petit nombre, les forces musulmanes réduisirent les Juifs, ils vainquirent les polythéistes et soumirent la totalité de la péninsule arabique. De là, elles s'engagèrent dans ce qui allait apparaître comme l'aventure la plus extraordinaire de tous les temps : affronter les empires perse, byzantin et romain, les plus grandes puissances mondiales de l'époque. Elles remportèrent victoire sur victoire, avant de se déverser en Afrique, au coeur de l'Europe, aux confins de l'Asie et en Océanie. Mais ces victoires furent moins celles des armes que de la foi. Depuis, l’Islam n'arrête pas de gagner du terrain. Son avance inexorable se fait au détriment de toutes les autres religions et doctrines. Le nombre de musulmans dépasse un milliard six cent millions de fidèles, et constitue la première constitue désormais la première religion au monde, corroborant ainsi totalement les prédictions du Livre Sacré.
Selon les estimations de l'ONU, en l'an 2100, le nombre de Musulmans sera de 4 500 millions d'habitants, laissant loin derrière, le Christianisme avec 2 200 millions de fidèles et le reste du monde avec 2 890 millions de membres (la civilisation chinoise comptant pour 1 500 millions d'adeptes). Quatre à cinq personnes sur 10 dans le monde seront alors de confession musulmane et la dynamique du mouvement ira crescendo. De tels progrès n’ont été rendus possibles que grâce à la volonté divine, d’instituer cette religion et de la promouvoir à la distinction. Le Coran attire les hommes par la pureté de sa foi et la teneur de son message authentique, le seul texte existant d’origine exclusivement divine qui a été révélé avec la Science de Dieu. (Coran 11.14). Il constitue une exhortation pour les croyants et une guérison pour l'âme tourmentée. (Coran 10.57).
L’insistance avec laquelle le Livre Sacré évoque le recours à la science constitue une approche originale, qui satisfait mieux la logique et s'inscrit dans une démarche cohérente : « Nous leur avons apporté un Livre, précise le Coran, et nous l'avons rendu intelligible, par la science, afin qu'Il soit une Direction et une Miséricorde pour les croyants. » (Coran 7.52). Aussi, Dieu considère-t-Il, que parmi les hommes, les savants sont ceux qui peuvent interpréter le Message au mieux de son essence. De nombreux versets abondent dans ce sens : « ...Quant à ceux que la science éclaire, ils reconnaissent que ceci est la vérité, venue de la part de ton Seigneur. Ils y croient et leurs cœurs s'humilient. Dieu dirige les croyants sur la voie droite. » (Coran 22.54). Egalement :« Ceux qui ont reçu la science, voient bien que ce qui est descendu sur toi de la part de ton Seigneur est la Vérité et dirige les hommes sur le chemin du Tout-Puissant, de Celui qui est digne de louange. » (Coran 34.6).
Le Coran favorise le pardon, le repentir, la miséricorde. Les deux mots les plus utilisés sont : "clémence" et "miséricorde". C'est un Livre Saint, béni, contenant les vraies Paroles de Dieu, un baume pour le coeur et l'apaisement de l'esprit. Bien loin de rejeter les prophètes anciens, le Livre Sacré des Musulmans, les honore de ses faveurs et leur accorde une égale distinction, contrairement à la Bible qui affuble la plupart d’entre eux d’épithètes dégradants. De Noé à Jésus, tous les Prophètes véridiques font l'objet d'une grande considération.
Les progrès actuels sont tels, que l'Islam restera pour les temps des temps, la religion dominante dans le monde et rien ni personne ne saurait arrêter cette marche inexorable. D’où les réactions affolées de ses adversaires. La logique biblique pourrait-elle admettre qu'une doctrine prêchée par un faux prophète culmine dans le monde et que le Judéo-christianisme régresse sans cesse ? Non, évidemment. L’Islam affermit sa vigueur dans son authenticité, sa pureté et sa piété, tandis que le Christianisme, le Judaïsme et l'Athéisme s'effilochent sous le poids de leurs contradictions et de leurs altérations Ils finiront sans doute par disparaître pour avoir prêché trop haut et trop fort, et pour avoir outrepassé leurs droits, dans un monde soumis à la raison et non plus seulement au pouvoir du canon.