La conversion d’une gynécologue américaine après avoir fait accoucher une musulmane
Olivia, une gynécologue obstétricienne américaine exerçant dans un hôpital de son pays, rapporte qu’un jour elle a reçu la visite d’une musulmane arabe qui devait accoucher. Celle-ci, déjà en travail, se tordait de douleurs et laissait échapper des gémissements. « Comme je n’en avais plus pour longtemps à l’hôpital », raconta l’américaine, « je l’ai informée que je devais rentrer à la maison et qu’un autre docteur s’occuperait de son cas. À peine avais-je fini de lui dire ceci qu’elle commença à pleurer à chaudes larmes et à dire avec insistance : « Jamais, jamais ! Je ne veux pas que l’on me confie à un homme » ».
Et le médecin américain de continuer, selon ce qu’elle rapporte dans sa page sur Facebook : « Je n’en revenais pas. Son mari me révéla alors qu'elle ne supportait pas qu’un homme entre chez elle car durant toute sa vie aucun homme, à part son père, ses frères et ses oncles (ses mahram-s), n’avait vu son visage ».
En guise de réaction la gynécologue dit : « J'ai beaucoup ri » avant de lancer, non sans grand étonnement, au mari de la femme « Je ne pense pas qu'il y ait en Amérique un homme qui n'ait pas encore vu mon visage ! » J’ai quand même accédé à sa demande.
Venue le deuxième jour pour vérifier sa situation après son accouchement, je saisis l’occasion pour attirer son attention sur le fait que beaucoup d’américaines s’exposent à des inflammations internes ainsi qu’à une fièvre puerpérale en raison des relations conjugales qu’elles entretiennent dans la période consécutive à l’accouchement. En conséquence, je lui ai fortement conseillé de s'abstenir de toute relation de ce genre pendant une période de 40 jours au moins durant laquelle elle devais avoir une bonne nutrition et ne pas faire trop d'efforts physiques. Elle me répondit que l’Islam a mentionné le cas et a défendu d’avoir, pendant 40 jours, des rapports sexuels avec la femme qui vient d’accoucher avant qu'elle ne redevienne pure. De plus, celle-ci est exemptée d’observer le jeûne et la prière. Quand j'ai entendu ses propos je fus si stupéfaite et si ébahie car nous sommes pratiquement arrivés aux mêmes résultats après beaucoup de recherches et d’expériences fastidieuses !
Ce fut le tour du pédiatre (une femme) d’entrer pour se rassurer de la santé du bébé. Parmi les conseils qu'elle a donnés à la mère il y a celui-ci : « Il vaut mieux faire dormir ton bébé sur le côté droit afin que les battements de son cœur soient mieux organisés ». Le père intervint alors pour dire : « Nous avons l’habitude, en application de la Sunna de notre Prophète (), de respecter cette consigne ». Une autre surprise. Le Dr américain dit alors : « Nous avons passé nos vies pour arriver à cette conclusion à laquelle ils sont arrivés grâce à leur religion. En conséquence, j’ai décidé d'apprendre et de connaître cette religion. Pour cela j’ai pris un congé d'un mois pour me rendre dans une autre ville où il y a un grand centre islamique. Dans ce centre j'ai passé la plupart de mon temps à poser des questions, à m'enquérir et à rencontrer des musulmans. Après quelques mois seulement je me suis convertie à l’Islam ».
C’est alors que le médecin américain dit : «Louange à Allah ».